Je ne voulais surtout pas créer une école

Pourquoi ?

Parce que petite, j’ai grandi avec une maman qui en avait créé une.

Et tout ce que j’en ai retenu, c’est l’image d’une mère stressée, débordée, absorbée par ses responsabilités.
Une maman 

pas trop disponible.

La plus grande souffrance de ma vie, c’est cette sensation d’avoir été abandonnée, non pas par manque d’amour… mais par manque de temps, de présence pour moi.

Alors, très jeune

, je me suis fait une promesse :

Je ne reproduirai jamais ce schéma !
Je ne sacrifierai jamais ma vie, ni celle de ma fille pour le travail.

Et pourtant…
La vie avait d’autres projets pour moi…

Mon obsession d’enfant

 Toute mon enfance, j’ai été obsédée par une chose : rendre ma mère heureuse.

Je pensais que si je parvenais à la soulager, à la faire sourire, peut-être qu’elle serait enfin disponible pour moi.
C’est cette obsession qui m’a fait plonger dans l’univers fascinant de la psychologie.

Pendant des années, ça a été mon moteur : rendre les autres heureux.
Ce besoin est devenu mon métier.

Mais je me suis complètement perdue dans ce rôle de sauveur…

Petit retour en arrière 

J’ai grandi dans un pays de contrastes : le Maroc, au milieu d’une société où la misère et la richesse se côtoient impunément, sans se cacher.

Issue de la haute classe sociale casablancaise, j’ai toujours été très mal à l’aise d’appartenir à la classe des privilégiés.

Je l’ai vécue comme une injustice vis-à-vis du reste de la société, avec cette question récurrente :

« En quoi je mérite plus que les autres ces privilèges ? »


Très vite, j’ai voulu m’échapper de ce milieu très cloisonné pour découvrir le monde.

J’ai eu l’opportunité de venir faire mes études en France.

   J’ai commencé ma vie universitaire par un cursus en psychologie, où j’ai posé les bases solides de mes connaissances théoriques.

 Ma soif d’explorer le monde et mon envie de découvrir comment les différentes cultures abordent les maladies psychiques, m’a amené à élargir mon champ d’étude en me tournant vers la sociologie et l’anthropologie.

J’ai ouvert mes horizons, développé ma tolérance, voyagé dans des contrées lointaines, je me suis enrichie de la différence.
Mais il me manquait quelque chose… 

Tout ce qui venait du domaine de l’irrationnel ne m’intéressait pas

 Je suis née au Maroc, de deux parents marocains, mais je me suis toujours sentie française.

J’ai fait toute ma scolarité dans une école française.

Dans la rue, entre le lycée et la maison, je ne comprenais pas les codes.

Je vivais comme une profonde injustice la condition de la femme, les inégalités entre riches et pauvres. Je ne supportais pas l’emprise de la religion.

À l’école française, j’ai intégré la vision matérialiste occidentale :

« Je pense donc je suis ».

Tout ce qui venait du domaine de l’irrationnel ne m’intéressait pas

 

Jusqu’au jour ou j’ai compris que j’avais un « don »

Ma grand-mère avait un don pour soigner les animaux… mais Pfff, elle n’était pas médecin.

Elle tenait ce don de son père herboriste reconnu pour guérir des maladies graves comme la sclérose en plaques. À mes yeux, sans diplôme universitaire cela ne comptait pas. 

Régulièrement ma grand-mère emmenait ma mère se faire nettoyer des énergies négatives . Ces pratiques me mettaient hors de moi.

Je ne comprenais pas comment ma mère, moderne et évoluée, pouvait croire a ces « trucs ».

Jusqu’au jour ou j’ai compris que j’avais un « don ».

J’ai failli tout abandonner 

 

Après avoir obtenu mes deux Masters de Sociologie et   d’Anthropologie et parcouru le monde, je me suis installée comme psychothérapeute en 2010.

 J’ai vécu des années très intenses. Très rapidement, mon cabinet a été plein. J’étais heureuse de vivre de ma passion. 

 On me demandait souvent si mon travail n’était pas trop   difficile, éprouvant.Il l’était, mais malgré tout, je ne me lassais jamais.

 Quel plaisir de sentir votre confiance à travers vos confidences. Vous voir grandir, vous épanouir. 

 Jusqu’au jour où tout a basculé.
 J’étais tellement épuisée de mes longues journées de   travail, tellement épuisée d’avoir tout donné dans mes   séances, que mon corps a dit STOP.

 J’ai failli tout abandonner.

 

La rencontre qui a bouleversé ma vie

J’ai décidé de faire autrement

La rencontre avec la thérapie quantique a été une révélation.
J’ai décidé de franchir le pas et de changer radicalement ma manière de travailler pour ne plus m’épuiser.

Et ça a marché ! Je ne me sentais plus du tout épuisée à la fin de mes journées.

Et CERISE sur le gâteau : j’ai obtenu des résultats inespérés avec certains patients : des symptômes installés depuis des années ont disparu en quelques séances.

C’est devenu une évidence :

Le monde entier devait accéder à cette nouvelle dimension.

 

 

 

 

C’est ainsi qu’est née : l’Académie Mana Quantique.

Finalement, ma mère, sans le savoir a tracé le chemin qui m’a conduite à réaliser le plus grand de mes rêves. 

Elle m’a ouvert la voie pour que je puisse créer une méthode révolutionnaire à la fois simple, puissante et profondément efficace, capable de redonner à chacun sa liberté et la clé de son bonheur !

                                   Aujourd’hui…

Maman d’une
petite Océane

Être maman, c’est mon ancrage au quotidien. Elle m’aide à garder les pieds sur terre tout en gardant le cœur grand ouvert.

Jamais sans mes baskets

Je transpire autant que je ris – que ce soit sur un tapis de sport, sur une piste de danse ou au milieu de mon salon. Bouger, c’est ma façon de rester vivante ! 

Globe-trotteuse

Je suis une vraie globe-trotteuse dans l’âme. Les voyages sont ma respiration, 
J’ai eu la chance de vivre à Tahiti, et c’est là-bas, au cœur de l’océan et de la magie de cette île, qu’est née l’Académie Mana Quantique 

Valeurs

Authenticité

Efficacité

Bienveillance

Mes diplômes
Master de Psychologie clinique

Université René Descartes, Paris V

Université Jean Jaurès, Toulouse

Master
d’Anthropologie

Spécialisé dans la Mémoire Familiale

Université Jean Jaurès, Toulouse

Master de
Sociologie

Université Jean Jaurès, Toulouse